Contact : bruletgilles (chez) laposte.net
« Tu répareras les lumières » Léa (6 ans)


lundi 1 février 2016

La poésie qui m'est chère :

Romances sans paroles de Paul Verlaine
Le piéton de l'air d'Eugène Ionesco
La rose de personne de Paul Celan


Sans oublier les révélations de René Char, de Jean Arp, de Zeno Bianu et d'André Breton, les miracles de Federico Garcia Lorca, la fraternité de Pablo Neruda, le sang et la luxuriance de Léopold Sédar Senghor et d'Aimé Césaire, la dérision intelligente de Jean Tardieu de Francis Ponge de Georges Perros et de Pierre Albert-Birot, la profondeur d'Andrée Chedid, de O.V. de L.Milosz les échappées océanes de Saint-John Perse, le génie de Saint-Pol Roux, la folie de Henry Michaux, la rage d'Armand Robin, le beau religieux d'Angèle Vannier de Jean Mambrino de Gilles Baudry de Jean Grosjean de Pierre Emmanuel et de Jean-Claude Renard, les monologues de Fernando Pessoa, la légende de Michel Cosem, la clarté de Jean-Michel Maulpoix et de Christian Da Silva, la grâce de Henri Pichette, la densité d'Eugène Guillevic et de Jean Follain, l'humanité de Wisława Szymborska d'Anjela Duval de Louis Guillaume de Cendrars de Valéry Larbaud de Cesar Vallejo et de Tristan Corbière, la tape sur l'épaule de Jean-Claude Touzeil et de Jacques Prévert, le mystère de William Butler Yeats, la puissance de Walt Witman, la lyre noire de Gérard de Nerval, les mondes de Jules Supervielle, les logorrhées fusantes de Malcom de Chazal, le dénuement de Chiyo Ni, Ryôkan, Hosaï et de Bashô, l'enfance de Jean-loup Fontaine, la vision d'Antonio Gamoneda de Luis Mizon de Gustave Roud de Rainer-Maria Rilke et de Philippe Jaccottet, les lumières d'Adonis et de Salah Stétié, le feu d'Octavio Paz, le dialogue intime avec la nature de René Guy Cadou et de Jean Le Mauve, l'émotion de Jacques Ancet, l'amour de Paul Eluard de Marceline Desbordes-Valmore, l'inconcevable rencontre des mots de Mallarmé, le soleil de Jean Malrieu, l'élégance d'Alain Borne, la troisième dimension de Pierre Garnier, l'image de Tomas Tranströmer de Georges Schehadé, l'alchimie des mots de Michel leiris et de Jean-Claude Roulet, les diamants de Corneille de Racine et Ronsard, et de bien d'autres et de bien d'autres (ce qui me rassure) et bien sûr du premier des humains (plus que les deux François Villon et Rabelais peut-être voire Ruteboeuf) de celui où tout se condense et jaillit comme une source : Charles Baudelaire. Une pensée tout de même pour Virginia Woolf, Jules Renard, Marcel Proust, Julien Gracq, André Dhôtel, Joseph Delteil et Henri Queffélec les plus poètes des romanciers.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire